Le dessin de la carte de vœux 2021 de Séraphine.
Présentation du travail de Séraphine Claeys, en bande dessinée, en illustration, pour le livre ou la presse, l’entreprise et les institutions.
Articles les plus récents
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Meilleurs vœux pour 2021
31 décembre 2020, par A.M. -
Inktober 2020
23 octobre 2020, par A.M.Séraphine participe à Inktober 2020
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ELLES... SORTENT DE LEURS BULLES
3 février 2020, par A.M.Séraphine participe à l’exposition consacrée à des parcours de femmes, héroïnes réelles ou imaginaires présentées dans la bande dessinée. Au Musée de l’Illustration Jeunesse (mij) de Moulins (France).
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Biographie
12 février 2019, par A.M.Après des humanités artistiques à l’Institut Ste Marie de Bruxelles, Séraphine s’inscrit à l’Atelier BD de St.Luc alors dirigé par Claude Renard. Ce sera le lieu de bien des rencontres et d’une émulation créatrice au sein de "l’Atelier R", comme Recherche. De 1976 à 1978, à l’atelier BD de St Luc Bruxelles , Séraphine publie deux histoires dans les 9e Rêve 1 et 2. Le 9e Rêve 1 a été primé au Festival d’Angoulême. (Voir aussi, plus tard, en 2006, le 9e Rêve 6, "30 ans de BD à Saint-luc et à l’ERG"). En 1979, (...)
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Rose d’Elisabethville
4 décembre 2010, par A.M.En plein processus de décolonisation du Congo, la Belgique est secouée par de violents courants pro et anti-coloniaux.
Eric Vermeer, jeune journaliste engagé pour la décolonisation, ne se fait pas que des amis dans la classe politique belge.
Rose, sa femme, est infirmière. Elle s’occupe de nombreux colons rapatriés en Belgique. Ayant elle-même passé son enfance au Congo, elle comprend la détresse de certains d’entre eux.
Un jour, le chargé d’affaire de Van Lancker, riche exploitant de mines de (...) -
Tome 2 : ’La Blanchisserie’
19 février 2008, par A.M.Dessous chics et secrets d’États…
Les idées révolutionnaires venues de France ébranlent les mentalités en ce début de 19e siècle. A la mort de sa mère, ADELAÏDE BIROT est adoptée par une dame de haut rang qui l’éduque et la baptise FRANCE DE RIGA.
Après une adolescence heureuse à Riga, France est confiée à la ’Grande Dame’, princesse russe exilée aux idées égalitaires. France suit son initiation au sein de La Blanchisserie qui s’avère être bien plus qu’un simple (...) -
Le dessous des dessous, article
19 février 2008, par A.M.A propos de France de Riga T.2 : La blanchisserie Extrait du magazine BoDoï n°115 de février 2008 (un article de Morgan Böedec)
Le dessous des dessous A une époque où l’on ne parlait pas encore de lingerie, le commerce des dessous recelait bien des secrets et des intrigues. Au sortir de la Révolution française –dont les lois furent très rudes à l’égard des émigrés-, Adelaïde suit sa mère, une « émigrette » comme on les appelait alors, qui exerce le métier de couturière autour de la Baltique. Jusqu’à (...) -
Séraphine et l’atelier graphique
21 janvier 2008, par A.M.L’auteure Séraphine se double d’une personne morale homonyme ; SÉRAPHINE S.R.L. généralement nommée SÉRAPHINE GRAPHICS.
Séraphine est cofondatrice avec André Moons, en 1981, de la société Séraphine Graphics qui développe une activité principalement axée autour de la communication par la bande dessinée et l’illustration. Au fil des années, Séraphine Graphics a étoffé ses savoir faire pour mettre une palette de métiers à disposition de ses clients. Il s’agit de conception éditoriale et publicitaire, de graphisme, (...) -
Tome 1 : ’Le Carnet’
2 février 2005, par A.M.Alors que la France se remet des remous de la Révolution et de l’instauration de la République, la face de l’Europe est en train de se modifier, ébranlée par des tressaillements secrets.
Les espions mandatés par leur gouvernement, tentent d’infléchir le cours d’une histoire qui déjà ne peut plus être maîtrisée.
Marie et Adélaïde Birot, vont être happées dans les tourbillons où intrigues et manigances sont le lot quotidien. La coutière et sa fille, sans emploi en ce début de 1792, arrivent à Bruxelles. Mais (...) -
Le contexte historique
30 janvier 2005, par A.M.Sur les routes encombrées, pressés de gagner la frontière, ils n’osent s’arrêter aux auberges de peur d’y être retenus prisonniers. Tout le monde est convaincu que l’absence sera brève et que dans trois ou six mois on sera revenu.
C’est le moment où l’on part comme on peut, les riches dans leurs carrosses, les moins fortunés par le coche, d’autres en charrette ou en fiacre, voir même à pied, un bâton à la main, quelques chemises de rechange nouées dans un mouchoir à l’épaule. Dans ces véhicules surchargés (...)
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